La maison Diptyque vient de dévoiler une édition limitée de sa collection Rosa Mundi, créée en collaboration avec la maison Antoinette Poisson.

Quand des créateurs de papiers peints dominotés rencontrent une illustre maison de parfums, cela donne une collection aussi belle visuellement qu’olfactivement. Diptyque vient en effet de dévoiler sa collection en édition limitée pour la Saint-Valentin, créée en collaboration avec Antoinette Poisson.

Comme chaque année, la collection Rosa Mundi s’offre un design original. Il en résulte cette fois-ci deux bougies, un palet parfumé, une eau dominotée, et un coffret de papiers pour tiroir au design raffiné, parfumés à la rose, le tout habillé habillé d’un motif floral. En note de tête, le cassis et la bergamote s’impose, ainsi que la senteur fruitée du litchi, et des notes rosées de géranium. La collection Eau Rose a également eu droit à son relooking pour l’occasion, avec l’arrivée d’un petit nouveau : un parfum solide.

Antoinette Poisson célèbre les arts graphiques du XVIIIème siècle

Cette collaboration est l’occasion de mettre en valeur le travail des trois restaurateurs d’Arts Graphiques aux commandes de A Paris chez Antoinette Poisson (du vrai nom de Madame de Pompadour, Jeanne-Antoinette Poisson). Passionnés par les papiers peints historiques, ils ont décidé de réhabiliter papier dominoté, et créent désormais des objets et papiers ornés de motifs aux allures vintage et intimiste. «A Paris chez Antoinette Poisson s’attache à redonner ces lettres de noblesse au savoir-faire et à l’empreinte de la main dans une esthétique héritée du XVIIIe siècle.» explique Jean-Baptiste Martin, un des créateurs de la maison. Un univers oscillant entre modernité et tradition qui correspond parfaitement à la maison Diptyque et qui nous offre pour la Saint-Valentin une jolie collection loin des clichés du genre.

Collection disponible sur diptyqueparis.fr et dans tous les points de vente Diptyque à partir de janvier 2017.

La collaboration Diptyque x À Paris chez Antoinette Poisson en images :

Source: //madame.lefigaro.fr/